La Loi sur les préjudices en ligne, ou projet de loi C-63, augmente les peines potentielles de cinq ans à l’emprisonnement à perpétuité. Il augmente également la peine pour incitation délibérée à la haine (un crime dangereusement mal défini) de deux à cinq ans. Les changements proposés constituent un doublement de l’engagement du Canada à réduire la liberté d’expression des citoyens malgré les critiques de nombreux membres de la communauté des libertés civiles. Il existe également une option effrayante, l’assignation à résidence, si un juge estime qu’un accusé « va commettre » une infraction. En d’autres termes, si un juge pense qu’un citoyen ne se laissera pas décourager et tentera à nouveau de s’exprimer librement. Le ministre de la Justice, Arif Virani, a eu recours à la même hystérie pour convaincre les citoyens de céder leurs libertés au gouvernement. Il a exprimé à quel point il était terrifié par le potentiel de la liberté d’expression, déclarant qu’il était « terrifié par les dangers qui se cachent sur Internet pour nos enfants ». Il est peu probable que cela s’arrête là. Aujourd’hui, la justification est le génocide. Cependant, une fois que les nouvelles sanctions seront en place, une fou…
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Pensez-vous que le gouvernement devrait avoir le pouvoir de prédire et de punir les futurs délits d’expression ?
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Que ressentiriez-vous si exprimer votre opinion sur les réseaux sociaux pouvait entraîner une peine d’emprisonnement à perpétuité ?